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Allez Pauline Parmentier!!!

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#1 ·
The thread dedicated to this young player.Mainly playing on ITF level,I wish her good luck to go further. :D




















 
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Pauline Parmentier : une première sélection à la maison.

Retenue par Nicolas Escudé dans le groupe qui défiera, ce week-end à Liévin, les États-Unis au premier tour de la Fed Cup, la Cucquoise Pauline Parmentier espère bien sûr être alignée en simple et profiter de l'événement pour relancer sa carrière.

PAR DAVID DELPORTE

sports@lavoixdunord.frPHOTO ARCHIVES AFP

Pauline Parmentier en Fed Cup, ce n'est pas vraiment une première. La jeune femme, qui vient tout juste de fêter ses 24 ans, avait en effet déjà été convoquée en équipe de France en janvier 2008 pour le premier match en Chine, mais elle avait alors dû se contenter d'un rôle de remplaçante.

La Cucquoise avait visiblement su tirer pleinement profit de cette aventure puisqu'elle avait dans la foulée décroché un deuxième titre sur le circuit WTA à Bad Gastein, une sélection pour les Jeux olympiques de Pékin et elle avait aussi intégré le « Top 50 » mondial, se hissant jusqu'au 40e rang.

La suite fut hélas moins rose. Rupture sentimentale, changement d'entraîneur et surtout blessure au poignet : sa saison 2009 commença de la plus mauvaise des façons et la dégringolade au classement ne se fit pas attendre. Désormais classée au 104e rang, Pauline Parmentier, qui travaille depuis septembre avec Nicolas Copin, semble néanmoins avoir retrouvé des couleurs ces derniers mois.

« En fin de saison, j'ai mieux joué sur des tournois moins importants. Ça aurait été bien de pouvoir enchaîner, mais il y a eu la coupure hivernale, précise la joueuse nordiste. On a bien travaillé pour préparer cette saison. Sur les premiers matchs, il y a encore des choses à améliorer, mais il y a aussi beaucoup de positif. Les défaites à Sydney et à Melbourne tiennent à peu de choses. Ça revient, mais il manque quelques victoires pour retrouver la confiance. » La Fed Cup pourrait, si tout se passe bien, jouer ce rôle de détonateur. Mais la Nordiste n'est pas encore assurée d'être de la revue sur ses terres. « Être en équipe de France, c'est déjà très bien, jouer ce serait encore mieux, admet-elle. Nicolas Escudé n'a pas encore choisi. Un premier match dans ma région, ce serait symbolique. Mais si je ne suis pas choisie, je serai quand même à fond derrière l'équipe. On s'entend toutes très bien et nous ne sommes pas ici pour jouer notre carte personnelle. »
Bartoli, Razzano et Rezai ont fait l'impasse

Pauline Parmentier, qui assure ne pas établir de hiérarchie entre les différents rendez-vous de la saison, a tout de même reconnu que cette Fed Cup était un vrai objectif. Et comme toutes ses camarades, elle aura sans aucun doute à coeur de prouver que, même sans les Bartoli, Rezai ou autre Razzano qui ont fait l'impasse, cette équipe de France a suffisamment d'atouts pour passer l'écueil américain, et ainsi s'éviter un match de barrage pour rester l'an prochain dans le groupe mondial. •

FRANCE - ÉTATS-UNIS, premier tour de Fed Cup, samedi et dimanche au stade couvert régional de Liévin.

3 500 places ont déjà été vendues, mais il reste encore des billets disponibles dans toutes les catégories de prix.
 
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Parmentier : baptême réussi

Publié le dimanche 07 février 2010 à 06h00

Réservée, souriante, frustrée. Pauline Parmentier est passée par tout ces états, hier. Elle a surtout réussi son match.

Le hasard n'a rien à faire dans le haut niveau. Encore moins dans le tennis, où l'athlète est face à un adversaire qu'il ne peut jamais toucher, seulement toiser, où le but est de briser une à une ses défenses, mentales et physiques. Un sport où le principal adversaire reste aussi, et surtout, soi-même.
En Fed Cup, Nicolas Escudé rappelait, hier, la valeur de chaque point qui ne s'offre qu'au prix d'une volonté farouche d'aller le conquérir. Au premier abord, on ne donnerait pas forcément ces qualités de battante à Pauline Parmentier, qui a souvent joué la carte d'un détachement de façade, cette semaine.


Elle masquait en réalité une vibrante émotion. Celle d'avoir été sélectionnée par son capitaine pour représenter son pays.
Hier, la jeune Nordiste a montré qu'elle avait l'étoffe de celles qui peuvent se sublimer. Et assumer les attentes placées en elles. Cela s'est joué à pas grand-chose. Cinq balles de breaks dans le cinquième jeu de la deuxième manche. Un seul de ces points aurait changé la donne. Des points qui frustrent celle qui a débuté le tennis, gamine, parce que sa famille prenait juste plaisir à le pratiquer. « Pour être une bonne joueuse de Fed Cup, répond-elle, il faut se battre sur tous les points. Il faut une attitude. Et puis il faut profiter de tout, du public. On joue au tennis pour vivre ces moments-là ».
Hier, son inspiratrice était présente, sur les abords du court, pour vérifier que le flambeau ne s'était pas éteint après son départ. « J'ai pu côtoyer Amélie (Mauresmo) avant qu'elle ne prenne sa retraite. Elle m'a beaucoup appris. Et le simple fait de la voir, aujourd'hui, m'a aidée » . La flamme brûle toujours. Pauline Parmentier est loin d'y être étrangère.w
 
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