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Timea Bacsinszky

352K views 4K replies 200 participants last post by  battista 
#1 ·
Timea is a very talented 14 year-old Swiss. You can see a thread that was posted about her on GM http://wtaworld.com/showthread.php?=82153

She's playing in the qualifying of a 10K in London this week. Good Luck!!!
 
#2,998 ·
Sydney, MD List

1. Halep
2. Radwanska
3. Kvitova
4. Safarova
5. Kerber
6. Pliskova
7. Bacsinszky
8. Suarez Navarro
9. Bencic
10. Vinci
11. Keys
12. Svitolina
13. Errani
14. Jankovic
15. Makarova
16. Kuznetsova
17. Schmiedlova
18. Stosur
19. Pavlyuchenkova
20. Mladenovic
21. Begu
22. Lisicki (#32)

GL Timea. :)
 
#2,999 ·
Sportives

Sport
Tennis

Le plus grand succès
Demi-finale de Roland-Garros, 2 victoires à des tournois WTA International, entrée dans le top 10 du classement WTA

Site Internet
www.timea-b.com



Nominée - Sportive de l'année 2015


Même si une déchirure du ligament interne du genou gauche l'a obligée à arrêter prématurément sa saison fin octobre, Timea Bacsinszky peut être plus que satisfaite de son année. La Lausannoise de 26 ans est arrivée en demi-finale à Roland-Garros et en quart de finale à Wimbledon, et a remporté les tournois d'Acapulco et de Monterrey (tous deux au Mexique). En automne, elle est entrée dans le top 10 du classement mondial pour la première fois de sa carrière. Elle n'est que la quatrième Suissesse à réussir cet exploit, après Martina Hingis, Patty Schnyder et Manuela Maleeva.
 
#3,000 ·
Tennis: Timea rêve de remporter la Fed Cup - News Sports: Tennis - lematin.ch



lematin.ch said:
«Sans le soutien de Swiss Tennis en 2013, je ne serais pas revenue au plus haut niveau. Je ne l'oublierai jamais. Je veux remercier les gens qui ont cru en moi», a expliqué Timea Bacsinszky à Bienne, au siège de la fédération. Le meilleur moyen de le faire n'est-t-il pas de gagner la Fed Cup pour marcher sur les traces de Stan Wawrinka et de Roger Federer ? En février prochain, elle entend mener l'équipe de Suisse à la victoire lors du quart de finale qui l'opposera à l'Allemagne à Leipzig.«Je ressens un réel engouement autour de notre équipe, dit-elle. Après notre victoire au printemps dernier en Pologne qui nous a permis de retrouver notre place dans le Groupe Mondial I, j'ai reçu énormément de courrier. De la part de gens qui espèrent vivre une histoire aussi belle que celle de la Coupe Davis.» En Allemagne, Timea Bacsinszky devrait bénéficier du concours de Belinda Bencic qui avait fait l'impasse sur le match en Pologne. «Belinda sait à quel point la Fed Cup compte pour moi, glisse-t-elle. Elle a 18 ans, j'en ai 26. Nous n'avons pas le même vécu. Je peux comprendre que nos objectifs puissent différer. Mais on essaie de discuter.» Apparemment, ce dialogue s'est avéré fructueux. La présence de la Saint-Galloise à Leipzig est donnée comme acquise. Même si le capitaine Heinz Günthardt, fort de sa riche expérience, ne veut pas encore l'officialiser.
«Je ne m'attends pas à des miracles pour le début de l'année»
Victime le 21 octobre dernier d'une déchirure partielle des ligaments internes du genou gauche lors de son match au tournoi de Luxembourg contre l'Allemande Laura Siegemund, Timea Bacsinszky espère qu'elle aura d'ici ce quart de finale contre Leipzig retrouver l'essentiel de ses moyens. La Vaudoise n'a retouché une raquette qu'en début de semaine. «J'ai repris tout doucement, en marchant sur le court, avoue-t-elle. Les ligaments «piquent» encore un peu sur les appuis.» En principe, Timea Bacsinszky entamera son année 2016 le 3 janvier à Brisbane. Elle s'alignera ensuite à Sydney et à Melbourne. «Mais toutes les options sont ouvertes. Si je ne m'estime pas prête, je ferai l'impasse sur Brisbane. J'écouterai mon corps. Honnêtement, je ne m'attends pas à des miracles pour le début de l'année.»
Quatrième joueuse suisse de l'histoire à figurer dans le top-ten de la WTA après Manuela Maleeva, Martina Hingis et Patty Schnyder, Timea Bacsinszky aura toutefois un rang - le douzième - et un statut - celui de la «come-back kid» - à défendre en 2016. «L'expérience m'a enseigné qu'aucune année ne se ressemble, lâche-t-elle. Il faudra que je me montre patiente. Que je mette le poing dans la poche. Que je sois rigoureuse. Que je ne m'attende pas à réaliser des choses extraordinaires, même si je me sens capable de les accomplir. A 26 ans, je peux encore regarder sur le long terme. J'ai, aussi, encore beaucoup de choses à apprendre.»
Victime d'une anémie
Songer au long terme ne doit pas la priver du plaisir de revenir sur une année 2015 qui lui a permis de se faire une place parmi les meilleures joueuses du monde. «Je ne crois pas qu'il y ait eu un moment clé lors de cette année, un déclic. J'ai toujours cru en moi. Sans me fixer des limites. Il y a eu de bons résultats en janvier avec la finale à Shenzhen suivi d'un troisième tour à Melbourne. Puis cette série de quinze matches sans défaite avec mes titres à Acapulco et à Monterrey.» Une série qui a été stoppée par Serena Williams en quart de finale à Indian Wells. «Il y a... pire pour stopper une telle série, s'amuse-t-elle. A Monterrey et à Indian Wells, j'avais en face de moi des adversaires qui avaient le couteau entre les dents. Qui se demandaient pourquoi je n'arrêtais pas de courir. Après avoir réussi une telle série, on se dit alors pourquoi ne pas aller plus loin dans les tournois du Grand Chelem...» Ce qui a été fait avec une demi-finale à Roland-Garros et un quart de finale à Wimbledon.
La suite fut plus «compliquée», avec cette tournée nord-américaine qui fut un fiasco: quatre éliminations au premier tour en quatre tournois. «C'était le premier creux que j'accusais en une année et demie, dit-elle. Je manquais de discernement sur le court. Je n'avais plus d'énergie. J'ai procédé à des examens sanguins au retour en Suisse. Ils ont décelé une anémie. Je me suis soignée. J'ai renoncé aux tournois de Séoul et de Wuhan pour revenir à Pékin.» Où son parcours ne s'est arrêté qu'en finale face à Garbine Muguruza. Sa «bête noire» en 2015. Avant Pékin, l'Espagnole lui avait déjà barré la route à Melbourne et à Wimbledon. «Je ne peux que la remercier, dit-elle. Elle me condamne à évoluer si je veux la battre enfin.»
 
#3,001 · (Edited)
No Brisbane????

Timea Bacsinszky: «Ich muss immer heulen» - Blick







blick.ch said:
Seit ihrem Comeback vor zwei Jahren hat Timea Bacsinszky (WTA 12) eine erstaunliche Wandlung hinter sich. Vom manchmal verbissenen Tennis-Talent ist sie gereift zu einer jungen Frau, deren Wort Gewicht hat. Ihr Leben mit der verkorksten Kindheit, dem Vater, der sie zu Höchstleistungen trimmte, dem Rücktritt und der Zeit, als sie in einem Hotel putzte, ist Stoff für Drehbücher.
Heute ist die 26-Jährige vor allem eines: dankbar. Diese Dankbarkeit bringt sie gestern in Biel erneut zum Ausdruck. «Die Menschen bei Swiss Tennis haben viel für mich getan. Sie haben mich finanziell und moralisch sehr unterstützt, als ich mich dazu entschlossen habe, es noch einmal zu probieren», sagt die French-Open-Halbfinalistin.
Dann kann Timea die Tränen nicht mehr zurückhalten. «Ich muss immer heulen», sagt sie, und ein Lächeln huscht über ihr Gesicht. «Es war ein sehr langer Weg, und ich werde niemals vergessen, was meine Freunde für mich gemacht haben. Dass ich es so weit schaffe, *hätte ich nicht erwartet», sagt Bacsinszky, «darauf bin ich sehr stolz.»
Nach dem Teilabriss des Aussenbands im linken Knie Ende Oktober hat sie vor allem im Konditionsbereich gearbeitet. Erst seit vier Tagen steht sie wieder auf dem Tennisplatz. «Ich bin noch sehr vorsichtig und muss es langsam angehen.» Diesen Eindruck teilt auch Konditionstrainer Beni Linder: «Es geht jetzt *darum, dass Timea wieder Vertrauen fasst.»
Auf die Vorbereitung für die neue Saison hat die Verletzung aber kaum Einfluss. «Wir sind im Fahrplan», bestätigt Linder. Das erste Turnier bestreitet Bacsinszky ab dem 10. Januar in Sydney.
 
#3,003 ·
Bacsinszky, Bencic, Hingis Nominated For 2015 Swiss Sportswoman Of The Year Award



Bacsinszky, Bencic, Hingis Nominated For 2015 Swiss Sportswoman Of The Year Award - VAVEL.com



vavel.com said:
Timea Bacsinszky, Belinda Bencic and Martina Hingis have all been nominated as the 2015 Swiss Sportswoman of the Year, an award aimed to recognize the success of Switzerland’s best female athletes.
In brief, this award will be given to the winner along with a number of other awards at the Credit Suisse Sports Awards, a ceremony held every December to honour the achievements of professional Swiss athletes. This year, the awards will be held on Sunday, December 13th. Unlike other awards shows, the winner is determined by 50% of votes from Swiss journalists and 50% of votes from the audience watching at home. There has been much controversy over this format as journalists and fans may have differing views and an athlete might win because they have accumulated more fan votes than media votes, or vice versa.
Along with the likes of alpine skier Lara Gut, artistic gymnast Giulia Steingruber and triathlete Nicola Spirig, Bacsinszky, Bencic and Hingis were all nominated thanks to their many successes in 2015, whether it’d be in singles, doubles or both.
Bacsinszky’s Incredible Season

Even if a knee injury ended her 2015 season prematurely, Timea Bacsinszky could still look back at her career-best season with a lot of fond memories and emotions. The Lausannoise resident came into this season without many expectations, but she seemed to go above and beyond what anyone was expecting of her.
Three months into the year and Bacsinszky, who took a break from tennis a couple of years ago to study hotel management, was on a tear. After winning two WTA International-level titles in Acapulco and Monterrey, the Swiss number one went on a hot streak, winning fifteen matches in a row before losing to world number one Serena Williams in Indian Wells. A couple of months later, Bacsinszky continued to deliver the goods, battling past big hitting Madison Keys and Petra Kvitova en route to making the semi final of the French Open, before losing to Williams again. Despite the loss, the 26-year-old picked up a lot of fans, and was quickly closing in on a spot in the top 10. Less than a month later, she advanced to the quarter final of Wimbledon, defeating grass-court specialist Sabine Lisicki before being defeated in straight sets by eventual finalist Garbiñe Muguruza.
The next few months of the season were extremely difficult for Bacsinszky, as all of the tennis she had played in the first half of the season began to take its toll on her emotionally and physically. She began to lose her confidence with every match, and at one point in the season, found herself on a five match losing streak.
However, the Swiss picked up her game at the China Open in Beijing, one of the last tournaments of the arduous 2015 season. Down a set and a break to Camila Giorgi in her opening round match and looking seemingly out of sorts, Bacsinszky rallied to earn herself a much-needed win. That win seemed to be the springboard she needed as she fought past Mariana Duque-Mariño, seventh seed Carla Suárez Navarro, Sara Errani and Ana Ivanovic before losing to Muguruza in the final. Despite the loss, the 26-year-old’s runner-up showing at the final Premier Mandatory event of the season was enough for her to break into the top 10 for the very first time. Bacsinszky joined Martina Hingis, Patty Schnyder and Manuela Maleeva as the four Swiss women to ever break into the top 10 of the WTA rankings.
Now sitting at number 12 in the year-end rankings, Bacsinszky is keeping the bar low for herself as she heads into 2016. “Believe it or not - I still don’t have any goals,” she said. “I just want to get better with every match.”
This will be Bacsinszky’s first time being a nominee in the Sportswoman of the Year category but if she is able to continue her 2015 form, she could be nominated and a major contender for this award in the years to come.
Brilliant Bencic’s Stunning Year

Belinda Bencic’s talent was never in question. At an early age, she began to work with Melanie Molitor — the mother of Martina Hingis, in order to hone her craft and develop into the player she had once dreamed about. At the age of 16, Bencic won the junior French Open and Wimbledon titles and ascended to the junior world number one ranking, a big feat for someone young. After a successful transition season in 2014, the current 18-year-old came into 2015 excited and ready to make a major breakthrough.
Unfortunately, that breakthrough didn’t come easy for the Flawil native. In the first two months of the season, Bencic won just one of the six matches she played, and looked out of sorts against players she would normally beat.
Fortunately, things began to turn around during the short grass season. After making her maiden WTA singles final in ’s-Hertogenbosch, Bencic followed it up with a title winning run at the Aegon International in Eastbourne. En route to the final, the 18-year-old beat the likes of Madison Keys, Eugenie Bouchard and Caroline Wozniacki before taking out Agnieszka Radwanska in a highly-entertaining final. That title seemed to catapult the WTA rising star to bigger and greater things, as she made the fourth round of Wimbledon and won her biggest title to date at the 2015 Rogers Cup presented by National Bank just over a month later. An unseeded but dangerous floater in the 64-player draw, Bencic dashed Canadian hopes by defeating Eugenie Bouchard in her opener, and went on to defeat Caroline Wozniacki, Sabine Lisicki, Ana Ivanovic, Serena Williams and Simona Halep - all of which have contested in a Grand Slam final.
After her surprise run to the title in Toronto, the Swiss had a few problems with consistency in the latter stages of the year, but managed to string together some great wish to make it to the final of the Toray Pan Pacific Open in Tokyo.
Along with her singles successes, Bencic also tasted victory on the doubles court. Alongside Katerina Siniakova, she picked up her first WTA doubles title in Prague, and backed it up three and a half months later with Kristina Mladenovic in Washington D.C. Having never played with the Frenchwoman before, winning the title was an impressive feat, let alone winning the title without dropping a set.
This is the second time Bencic has been nominated for a Credit Suisse Sports Award. In 2013, she was nominated for the “Newcomer of the Year Award” and ended up winning, beating out Paralympic wheelchair racer Marcel Hug and artistic gymnast Giulia Steingruber for the award.
Hingis’ Masterclass Year in Doubles

Ever since her return to professional tennis, Martina Hingis has been working hard to regain some of the form that got her to number one in the world. After making the final of last year’s U.S. Open with Flavia Pennetta, Hingis was eager to begin her 2015 campaign on the right foot. Unfortunately, things didn’t go according to plan for Hingis and Pennetta as they failed to advance past the third round in the first two months of the season. As a result, the pair had to make the difficult but logical decision to split up because of their poor start to the season, as well as Pennetta's desire to focus more on singles than doubles.
Soon after her split with Pennetta, Hingis teamed up with Sania Mirza, and they hit it off right away. In their first three tournaments as a team, they completed the Indian Wells, Miami and Charleston sweep, winning all three titles on American soil in successive weeks. Despite a subpar rest of the clay season, Hingis and Mirza made an impressive rebound at Wimbledon, defeating Ekaterina Makarova and Elena Vesnina in three sets to capture the title — Mirza’s first Grand Slam women’s doubles title and Hingis’ eighth. They backed up that stunning victory with an undefeated run in New York and Asia, confirming their status as the best doubles team of 2015. It all started at the U.S. Open where Hingis and Mirza, affectionately known as “Mingis” by their fans, cruised to their second Grand Slam title of the season without dropping a set. In Asia, Mingis went on another tear, winning titles in Guangzhou, Wuhan, Beijing and ultimately the BNP Paribas WTA Finals Singapore presented by SC Global in Singapore to cap off an incredible season.
But, that wasn’t all the success that Hingis enjoyed on a doubles court. The 35-year-old also won three out of the four Grand Slams in mixed doubles with Leander Paes. Playing together for the first time at a Grand Slam, Hingis and Paes used their experience and doubles expertise to carve their way to the title. Despite getting knocked out in the second round of the French Open, the Swiss-Indian duo resiliently rebounded to cruise to the Wimbledon title without losing more than four games in one set. Capping off the end of the year, Hingis and Paes benefited from a couple of withdrawals before outdoing their opponents in the semi final and final to capture their third major of the season (as a team).
Hingis has won the Swiss Sportswoman of the Year Award before, but that came back in 1997 when she won four Grand Slams, three in women's singles and one in women's doubles.
 
#3,004 ·
For who has not saw this review of her victories and more.




Name: Timea Bacsinszky
This season: 12
Last season: 48
Career-high Singles: 10 this year
Win-Loss/Career: 41 - 14/342 - 180
Prize Money/Career: $1,963,645/$3,537,094
WTA Singles Titles/Career: 2/3​


Notable victories (against top 100):


  1. Petra Kvitova (WTA - 4) 6-4 6-4 in Shenzhen, S
  2. Petra Kvitova (WTA - 4) 2-6 6-0 6-3 in French Open, R16
  3. Agnieszka Radwanska (WTA - 9) 6-1 6-1 in Fed Cup Week 2 - Playoffs, R2
  4. Ekaterina Makarova (WTA - 9) 3-6 7-5 6-4 in Indian Wells, R32
  5. Karolina Pliskova (WTA - 12) 6-4 6-0 in Rome, R64
  6. Carla Suárez Navarro (WTA - 12) 6-4 4-6 7-5 in Beijing, R16
  7. Sara Errani (WTA - 12) 6-0 4-6 7-6 (3) in Monterrey, S
  8. Ana Ivanovic (WTA - 15) 5-7 6-4 6-1 in Beijing, S
  9. Jelena Jankovic (WTA - 15) 6-1 6-4 in Australian Open, R128
  10. Madison Keys (WTA - 16) 6-4 6-2 in French Open, R32
  11. Sabine Lisicki (WTA - 18) 6-3 6-2 in Wimbledon, R32
  12. Sara Errani (WTA - 20) 0-6 6-3 7-5 in Beijing, Q
  13. Sabine Lisicki (WTA - 22) 6-4 6-3 in Rome, R32
  14. Elina Svitolina (WTA - 29) 4-6 6-1 6-1 in Indian Wells, R16
  15. Caroline Garcia (WTA - 30) 6-3 6-0 in Acapulco, F
  16. Camila Giorgi (WTA - 31) 1-6 6-4 6-3 in Beijing, R64
  17. Monica Niculescu (WTA - 48) 1-6 7-5 6-2 in Wimbledon, R16
  18. Karin Knapp (WTA - 53) 7-5 6-2 in Shenzhen, R16
  19. Julia Goerges (WTA - 56) 6-2 7-5 in Wimbledon, R128
  20. Johanna Larsson (WTA - 56) 6-3 6-3 in Acapulco, Q
  21. Tereza Smitkova (WTA - 65) 6-2 6-0 in French Open, R64
  22. Johanna Larsson (WTA - 71) in Fed Cup Week 1, R1
  23. Mariana Duque-Mariño (WTA - 77) 7-5 6-2 in Beijing, R32
  24. Lara Arruabarrena (WTA - 79) 6-3 6-4 in French Open, R128
  25. Marina Erakovic (WTA - 80) 4-6 6-3 6-2 in Indian Wells, R64
  26. Lesia Tsurenko (WTA - 85) 4-6 6-4 6-4 in Monterrey, R16
  27. Tatjana Maria (WTA - 87) 7-6 (3) 6-3 in Marrakech, R16
  28. Stefanie Voegele (WTA - 89) 6-1 4-6 6-4 in Shenzhen, R32
  29. Evgeniya Rodina (WTA - 90) 6-3 7-5 in Marrakech, R32
  30. Yanina Wickmayer (WTA - 91) 7-6 (8) 3-6 6-4 in Monterrey, R32
  31. Lesia Tsurenko (WTA - 92) 6-2 7-6 (4) in Acapulco, R16
  32. Alison Van Uytvanck (WTA - 93) 6-4 7-5 in French Open, Q


Best performance: Won in Acapulco and Monterrey, Semifinal in French Open, Q in Wimbledon, Runner-Up in Beijing and Shenzhen, Q in Indian Wells.








source-> http://www.tennisforum.com/12-general-messages/1012666-100-fistpumps-2015-a.html
 
#3,005 ·
Bacsinszky: WTA Most Improved Player

A blistering start to 2015 saw Timea Bacsinszky establish herself in the Top 10 and walk away with the WTA Most Improved Player Of The Year award

http://www.wtatennis.com/players/player/10874/title/timea-bacsinszky
wtatennis.com said:
https://www.facebook.com/hashtag/thanks?source=feed_text&story_id=934161926662961

Timea Bacsinszky enjoyed a sparkling junior career, winning a string of prestigious tournaments and reaching the semifinals at three of the four Grand Slams. But following a bright start in the professional ranks, she grew so disillusioned with a series of injury setbacks that her tennis dreams were temporarily parked in favor of a career in hotel management.
While it was a change in direction that ultimately was never going to satisfy her thirst for competition, it did provide a newfound sense of perspective on both life and tennis. When she did eventually get back on court, this introspection worked wonders, the Swiss registering 115 wins, a couple of titles and rising, briefly, into the Top 10.
A blistering start to 2015 saw Bacsinszky triumph in 21 of her first 23 matches, collecting titles in Acapulco and Monterrey. Semi and quarterfinals at Roland Garros and Wimbledon, respectively, proved her success was not confined to the smaller events. Despite losing her way in the second half of the summer, she rounded off the year with a runner-up finish in Beijing, underlining her worthiness as the winner of this year's WTA Most Improved Player Of The Year.
"To breakthrough into the Top 10, to be honest, it's something I never even dreamed of - I never thought that would be possible for me," Bacsinszky said. "But when you don't set yourself any limits, you push yourself and sometimes some great things are happening.
"I'm super proud of all I've achieved. I wouldn't have been able to do it without my team, especially my coach [Dimitri Zavialoff]. He is the one who lifted me up two years ago and got me to play again. I will definitely still push myself in the future and see my limits."
Bacsinsky joins a select group to have won the award. Among their number are 10 WTA No.1's: Steffi Graf, Arantxa Sánchez-Vicario, Monica Seles, Martina Hingis, Serena Williams, Justine Henin, Maria Sharapova, Ana Ivanovic, Jelena Jankovic and Dinara Safina.
 
#3,015 ·
Timea Bacsinszky ganz emotional«Es gibt Momente, in denen man am Boden ist

Timea Bacsinszky ganz emotional: «Es gibt Momente, in denen man am Boden ist» - Blick

Ihr Lachen steckt an, ihr Weinen auch. Schwingt Timea Bacsinszky Racket oder Reden, bleibt meist kein Auge trocken. Wird die 26-jährige Lausannerin heute Sportlerin des Jahres?







blich.ch said:
Von Simon Häring, Cécile Klotzbach (Text) und Benjamin Soland (Foto)

Timea Bacsinszky, wie geht es *Ihnen nach der Knieverletzung?
Timea Bacsinszky: Es geht mir gut. Ich habe letzte Woche wieder mit dem Tennis begonnen. Vorher *trainierte ich nur vorsichtig an der Kondition. Ich muss mit dem Knie aufpassen. Ich habe keine Lust, *etwas zu riskieren, möchte gesund und fit ins neue Jahr starten.

Was bleibt von diesem Jahr besonders positiv in Erinnerung?
Die ganze Saison! Ich habe es *geliebt, wie ich gespielt habe. *Hervorheben würde ich natürlich die beiden Turniersiege in Mexiko. Oder den Halbfinal in Paris und den Viertelfinal in Wimbledon.

Und der traurigste Moment?
Als es im Spätsommer in den USA bei mehreren Spielen nicht gut lief. Ich vergab Matchbälle! Am meisten schmerzte mich die Verletzung im allerletzten Match. Das ist mir noch nie passiert. Dabei war ich eigentlich schon im Flieger nach Singapur. Diese Tage waren sehr, sehr hart. Es war mein erstes Loch, seitdem ich vor anderthalb Jahren wieder angefangen habe. Es gibt im Tennis und im Leben einfach Momente, in *denen man am Boden ist.

Sie sprachen von technischen Umstellungen. Hatten Sie *deshalb Mühe?
Nein. Die Erwartungen waren plötzlich so hoch. Auf einmal hatte ich diesen neuen Status als Top-Spielerin. Da steigt der Druck, von den Medien, von den Sponsoren, und die Gegnerinnen nehmen *einen ernster. Zudem war ich so platt, dass ich dachte, ich habe irgendwas. Mein Team hat sich grosse Sorgen gemacht. Also liess ich mich vom Arzt durchchecken. Er diagnostizierte eine *Anämie. Mein Eisenspiegel war *extrem niedrig. Ich kehrte nach den US Open zurück in die Schweiz, liess mich behandeln und meinen Eisenspiegel wieder anheben. Allmählich ging es mir wieder besser.

Sie lachen viel, weinen öffentlich. Sind Sie immer so emotional?
(Lacht) Ich bin jedenfalls sehr *feinfühlig. Ich kann Gefühle nicht kontrollieren, so bin ich eben. Auch wenn es manchmal besser wäre, sie zu unterdrücken. Meine kommunikative Art ist ein Teil von mir. Als ich nach dem Final in Peking in meiner Rede weinen musste, habe ich *Menschen im Publikum angesteckt. Als ich das später auf Bildern sah, war ich sehr gerührt.

Betroffen haben Sie auch die *Attentate in Paris gemacht.
Ja, das war sehr schmerzhaft. Ich war Gast in einer Fernsehsendung und nach der Aufzeichnung im Backstage-Bereich. Wir hatten es lustig, tranken ein Bier. Plötzlich kam jemand mit den Informationen aus Paris – von da an war der Abend vorbei. Mir ging es schlecht beim Gedanken, dass so etwas drei Stunden von Zuhause entfernt, passiert. Paris war schockierend, weil der Terror immer näher rückt. Aber *vergessen wir nicht, dass er schon lange viele Orte auf der Welt *beherrscht. In Syrien, Afrika gibt es noch viel mehr Tote – über die sprechen wir kaum. Ich habe Mühe, das alles zu verstehen.

In Paris starteten Sie Ihre zweite Karriere, erreichten den Grand-Slam-Halbfinal. Geht Ihnen das auch darum so nahe?
Das hat keinen Zusammenhang. Würde es in Zürich oder Nizza *passieren, wäre es genau gleich schlimm für mich. Zum Glück stehe ich aber oft auf dem Platz und darf dort viel lachen. Ein Lächeln tut niemandem weh, im Gegenteil. Wenn mich jemand anlächelt, lächle ich automatisch zurück. Die Menschen sollten sich mehr Zeit nehmen zu *lächeln, sich einen guten Tag zu wünschen, liebenswert miteinander umzugehen. Das würde die Welt ein bisschen besser machen.

Erzählen Sie uns von Ihren Ferien.
Zuerst war ich mit meinem Freund Andreas in Budapest, für ihn war es das erste Mal in Ungarn. Die Stadt habe auch ich erstmals wirklich *besucht. Ich habe es geliebt! Nachdem ich vom Arzt grünes Licht fürs Laufen bekam, erkundeten wir ganz Budapest zu Fuss. Wir waren in Museen, assen sehr gut in *kleinen, typischen, untouristischen Restaurants. Wir trafen Freunde, gingen ins Thermalbad. Es war schlicht genial, märchenhaft.

Von da aus gings nach Zermatt?
Ja. Alle Tennisspieler suchen die Insel, das Meer, die Wärme. Ich wollte mal anders Ferien machen. Skifahren durfte ich wegen der Verletzung leider nicht. Grosse Wanderungen sind auch eher gefährlich. Es waren Tage zum Abschalten, Fondue und Raclette essen, Bücher lesen, für Wellness und kleinere Spaziergänge. Wir wären gerne noch ins Museum zur Matterhorn-Erstbesteigung, aber es war leider zu.

Ist die Weihnachtszeit bei Ihnen besinnlich oder hektisch?
Eher hektisch. Weihnachten ist das Fest der Familie. Ich würde alle gerne mehr sehen, aber ich hatte vor lauter Trainings, Medien- und Sponsoren-Terminen kaum Zeit. Ich habe auch erst drei Geschenke – und ich will keinesfalls Albträume deswegen! Das Schlimmste wäre, wenn ich am letzten Wochenende mit vielen anderen Leuten noch in die Läden müsste. Nein danke!

Sind Sie religiös?
Nein, total atheistisch.

Halten Sie in der Weihnachtszeit dennoch mal inne und lassen die letzten Monate Revue passieren?
Eigentlich nicht. Vorbei ist vorbei, ich schaue immer voraus.

Für vergangene Taten sind Sie bei den «Sports Awards» nominiert. Was bedeutet Ihnen das?
(Strahlt) Nur schon die Nomination ist eine Ehre, ein Traum! Dass *Experten meinen, ich verdiene den Platz, berührt mich sehr. Ich weiss, die Konkurrenz ist stark, darum *erwarte ich den Sieg nicht. Aber sollte es doch ich sein, wäre es eine Riesen-Ehre. Vermutlich würde ich dann wieder weinen. Bereitet *besser die Taschentücher vor!

Werden wir nächstes Jahr *wieder vor Freude mit Ihnen weinen?
Ich bin extrem stolz auf meinen Weg der letzten Jahre, ich liebe meinen Beruf. Ich werde alles tun, um mich jeden Tag für das bestmögliche Jahr zu verbessern. Klappt es nicht, versuche ich es im Jahr darauf wieder. Aber ich setze mir nach wie vor keine Ziele. Das funktioniert bis jetzt gut. Dass die Leute nun mehr von mir erwarten, ist mir komplett egal. Wenn ich einmal das Racket weglege, interessiert sich niemand mehr für mich.

Was wünschen Sie sich persönlich fürs neue Jahr?
Viel Glück, Gesundheit und vor *allem viel Liebe! Diese Welt braucht viel Liebe. Und wenn jemand eine Champagner-Flasche köpfen will, bin ich natürlich dabei (lacht).
Aktualisiert um 00:43 Uhr
 
#3,018 ·
«Ich hatte sogar Mühe aufzustehen»

Timea Bacsinszky hat einen erstaunlichen Weg an die Spitze hinter sich. Dafür hat sich die 26-Jährige neu entdecken müssen.


«Ich hatte sogar Mühe aufzustehen» - News Sport: Tennis - tagesanzeiger.ch



Timea Bacsinszky beim Posieren in ihrer Heimatstadt Lausanne: «Roger Federer hat mit 34 einen neuen Schlag erfunden. Ich habe also noch acht Jahre Zeit, um Dinge dazuzulernen.» Foto: Jean-Christophe Bott (Keystone)



tagesanzeiger.ch said:
2013 wollten Sie mit dem Tennis aufhören, in diesem Jahr spielten Sie sich erstmals in die Top 10. Welche Botschaft steckt hinter Ihrem Weg? Dass alles möglich ist?
Es gibt mehrere Botschaften. Eine lautet: Es ist nie zu spät. Oder: Man muss an seine Träume glauben. Und an seine Möglichkeiten. Aber natürlich muss man auch gute Menschen haben, die einen unterstützen. Ohne sie hätte ich es nie geschafft. Sie halfen mir, eine ziemlich ausgeglichene Frau zu werden. *Etwas, das ich früher nicht war (lacht). Was mir auch eine wichtige Botschaft scheint: *Jeder hat seinen eigenen Weg. Ich bin nicht die zweite xy. Sondern die erste Ich. Und auch die letzte. Man hat oft die Tendenz zu vergleichen. Darunter habe ich in meiner Kindheit lange gelitten. Wie zeigte sich das?
Es wurde schon früh sehr viel von mir *erwartet. Nicht nur von den Medien, *sondern vor allem von meinem Vater, der unbedingt wollte, dass ich *einem gewissen Bild entspreche. Was er nicht *verstand: Jeder Mensch ist anders, man kann nicht alle ins gleiche Schema pressen. Es gibt solche, die sind schon von früh auf sehr fokussiert. Dann gibt es andere wie mich, die sich zuerst entdecken, ihr Gleichgewicht finden müssen. Die *gewisse Freiheiten brauchen. Man muss jeden Menschen anders behandeln. Man sagt viel zu oft: Der oder die hat dies und das schon gewonnen in *jenem Alter, also musst du dich beeilen! Nein. Jeder hat seinen eigenen Weg. Ich möchte den anderen Athleten sagen: Lebt eure *Karriere! Sie gehört euch! Und versucht nicht, *jemanden nachzuahmen! Ich habe keine Lust, die Karriere von *jemand anderem zu haben. Ausser vielleicht die von Roger (Federer). (Lacht) Nein, nicht einmal die. Ich möchte nicht so berühmt sein wie er. Das muss manchmal extrem nervig sein.
Pardon, aber ein Vergleich, der sich aufdrängt, ist der zwischen Belinda Bencic und Ihnen. Sie beide hatten 2015 einen rasanten Aufstieg.
Wie gesagt: Ich finde nicht, dass dieser Vergleich etwas bringt. Unsere Geschichten sind ganz anders. Sie ist 18, hat noch diese jugendliche Frische. Ich bin 26, habe schon viel mehr erlebt. Aber ich finde es gut, dass wir zwei Schweize*rinnen sind, die vorne mitspielen. Wie bei den Männern Roger und Stan *(Wawrinka). Das gibt einen gesunden Konkurrenzkampf. Wenn *Belinda gewinnt, freue ich mich für sie.
Im Frühling 2013 absolvierten Sie ein Praktikum in einem Hotel, spielten kaum mehr. Hätten Sie da gedacht, dass Sie noch einmal so weit kommen würden im Tennis?
Nie im Leben! Wenn mir jemand gesagt hätte, ich würde einmal den Halbfinal *eines Grand Slam erreichen, hätte ich entgegnet: Ja, ja, rede du nur. Als ich in *Acapulco (im Februar) das erste Turnier seit meiner Rückkehr gewann, hätte ich das nie für möglich gehalten. Ich setzte mir ja nie Ziele. Stellen Sie sich vor: Als ich im Sommer 2013 die Qualifikation für das French Open bestritt, war ich *total ausser Form. Ich hatte fünf Monate nicht mehr gespielt, war eine Null. Aber dank meiner grossen Freude, wieder einmal zu spielen, lieferte ich einen *ordentlichen Match ab. Zwei Jahre *später stand ich am Turnier meiner Träume im Halbfinal.
«In Nordamerika war ich platt. Ich hatte sogar Mühe aufzustehen. Dann fand ich heraus, dass ich Eisenmangel habe.»
Was war der Schlüssel zum Erfolg? Die innere Ausgeglichenheit, die Sie erwähnt haben?
Es begann ja schon weit vor jenem *berüchtigten Qualifikationsspiel in *Paris. Ich hatte eine Psychotherapeutin aufgesucht, weil ich begreifen wollte, was in mir vorgeht. Ich war damals sehr unglücklich. Es ging nicht einmal mehr ums Tennis. Das hatte ich ohnehin abgehakt. Ich wollte einfach erreichen, dass meine Tage wieder etwas angenehmer sind. Wenn man davon spricht, man gehe zur Psychologin, denken viele: Oh, ist sie jetzt vielleicht verrückt? *Dabei würde es vielen guttun. Bei jedem *kommen früher oder später Dinge hoch, die in der Kindheit passiert sind. Es gibt Menschen, die besser damit umgehen können. Mich holte mit 23 plötzlich alles ein. Und da war es höchste Zeit, dass ich mit jener Frau an mir zu *arbeiten begann.
Was hat es Ihnen konkret *gebracht?
Primär, dass mein Dasein angenehmer ist. Und dann bin ich auch viel angenehmer im Umgang mit meiner Entourage, mit anderen Menschen. Mit meiner Familie. Ich verstehe nun viel besser, was in mir vorgeht. Und ich kann auch extreme Reaktionen anderer viel besser verstehen und annehmen. Ohne diese Therapie hätte ich das alles nie geschafft. Aber der Prozess ist nie abgeschlossen. Wenn wir einmal *beginnen, in uns hineinzuhorchen, *merken wir schnell, wie viel unter der Oberfläche brodelt. Am Anfang denkt man: Okay, jetzt löse ich dieses Problem, und dann ist es gut. Aber voilà, schon kommt das nächste. Indem ich mich dem gestellt habe, bin ich viel ausgeglichener geworden.
Sie sprachen von Paris. War dies für Sie das sportliche Highlight 2015?
Ja, das liegt auf der Hand. Aber ich möchte keine Erfahrung missen. Auch nicht die negativen. Es war auch wichtig für mich, im Herbst in Nordamerika viermal in der ersten Runde zu verlieren. Ich kam nach Hause, fühlte mich platt und fand heraus, dass ich Eisenmangel habe. Ich hatte so sehr meine *Reserven angezapft, dass ich in den USA total müde war. Ich hatte sogar Mühe, morgens aufzustehen. Oder mich auf*zuwärmen. Ich fragte mich: Habe ich *innere Widerstände? Muss ich mein *Leben wieder hinterfragen? Ist es wirklich das, was ich tun möchte? Das war mir eine Lehre. Jetzt weiss ich: Ich sollte alle zwei, drei *Monate einen medizinischen Check *machen. Ich muss noch mehr auf meine Ernährung achten. Und wenn ich mich schlecht fühle, sollte ich das nicht *negieren. Ich bin nicht Superwoman.
«Ich bin keine, die sich mit teurem Schmuck belohnt. Oder einer Villa. Mir geht es gut in meiner kleinen Wohnung.»
Als Sie am US Open sahen, wie Roberta Vinci gegen Serena *Williams gewann, kam bei Ihnen *nochmals Ihr Halbfinal von Paris hoch? Dachten Sie nicht: Das hätte ich auch gekonnt?
Nein. Überhaupt nicht. Jeder Match ist anders. Vielleicht hatte sich Vinci ja von meinem Match inspirieren lassen. Keine Ahnung. Ich bin jedenfalls nie neidisch auf andere. Ich gönne es ihnen, wenn sie gewinnen. Wie Belinda in Toronto gegen Serena Williams. Oder Vinci. Ich schaffte es in Paris nicht. Und das kann ich nicht mehr ändern. Aber ich bin ja erst 26 und habe noch viele, viele Jahre im Tennis vor mir und noch viel zu lernen.
Sie sagen immer, Sie würden sich keine Ziele setzen. Aber was schwebt Ihnen vor für 2016?
Meine Philosophie, mir keine Ziele zu setzen, hat Früchte getragen. Deshalb gibt es keinen Grund, sie zu ändern. Ich erwarte von mir, dass ich wieder so *konsequent und professionell bin wie in *diesem Jahr. Und dass ich noch viel lerne. Nicht nur, was das Tennis betrifft. Sondern auch in anderen Bereichen. Im Umgang mit den Medien. Oder mit den Sponsoren. Es ist mir wichtig, dass ich ein gutes Bild abgebe. Das ist nicht *immer einfach. Ich musste nach Paris in sehr kurzer Zeit sehr viel lernen. Es prasselte unglaublich viel auf mich ein. Ich nehme mir auch vor, mein Spiel weiterzuentwickeln, neue taktische Varianten einzubauen. Roger hat mit 34 einen neuen Schlag erfunden, den Sabr. Ich habe also noch acht Jahre Zeit, um Dinge dazuzulernen (lacht).
Wie haben Sie sich belohnt nach der Saison?
Ich war fünf Tage in Budapest mit meinem Freund Andreas. Danach waren wir noch drei Tage in Zermatt. Wir wollten nicht irgendwohin auf eine Insel, ich bin sehr verbunden mit der Schweiz. Ich habe zwar einen fürchterlich fremd*ländischen Namen, aber ich habe einen ausgeprägten Waadtländer Akzent und liebe Fondue und Raclette (lacht). Natürlich interessieren mich aber auch meine Wurzeln. Ich spreche sehr gut Ungarisch, meine Eltern sind Ungarn, aber ich war noch nie als Touristin in Budapest, sondern nur wegen des Tennis. Deshalb wollte ich mit meinem Freund unbedingt einmal Budapest anschauen. Ich sagte: Ich bin die beste Stadtführerin, ich beherrsche sogar die Sprache!
Und, wie war es?
Wir verbrachten fünf wunderbare Tage. Ohne grossen Luxus. Ich brauche kein Fünfsternhotel, wir waren nicht in den teuersten Restaurants, sondern in typischen ungarischen Kneipen, wo man keinen Touristen antrifft. Ich bin keine, die sich mit teurem Schmuck belohnt. Oder die sich eine Villa kauft. Mir geht es gut in meiner kleinen Wohnung in Lausanne. Für mich ist es wichtiger, Zeit mit meiner Familie zu verbringen. Und mit meinen Freunden. So habe ich mich belohnt: indem ich Zeit verbracht habe mit meinen Nächsten. Das ist unbezahlbar.
(Tages-Anzeiger)
(Erstellt: 09.12.2015, 21:12 Uhr)
 
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